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Affichage des messages du février, 2015

Type psychologique de personnage (2)

Le matérialisme : Doctrine affirmant que la matière est le seul constituant de l’univers, que rien n’existe en dehors du monde matériel ou physique. Pour les matérialistes, l’âme et l’esprit sont des manifestations de la matière comme tout le reste. Ils rejettent tout ce qui ne fait pas partie du monde naturel — fait, force, créature surnaturelle —, toute explication qui sort du cadre physique, matériel ou naturel. D’une certaine façon, nous pouvons résumer leur pensée en disant que pour eux seules les explications scientifiques sont valables. Tout ce qui relève de la croyance est, pour eux, sans valeur d’un point de vue de la connaissance, et, par conséquent, sans intérêt. Peu de personnages sont d’un matérialisme (ou d’un « immatérialisme ») pur. Par exemple, tout ce qui a trait à la spiritualité est rarement compatible avec la doctrine matérialiste. Le milieu peut aussi jouer un rôle dans le niveau de matérialisme d’un personnage, ainsi selon l’époque dans laquelle il évolue — selon

Type d’intrigues (1)

Théorie du chaos Dans ce type d’intrigues, c’est l’addition des circonstances qui crée la « catastrophe finale ». La progression de l’histoire est déterminée par les évènements plutôt que par les prévisions ou les buts des personnages. En fait, les intrigues de ce type ne sont pas linéaires, mais elles sont plutôt construites en toile d’araignée. Chaque action, chaque réaction, chaque évènement (dû au hasard ou à l’initiative d’un personnage) rebondissent les uns sur les autres de façon inattendue. Les personnages : Aucun personnage n’a la maîtrise de l’intrigue. Personne n’a pour plan particulier le dénouement tel qu’il se présentera (personne ne travaille pour ce qui sera le résultat final). En quelque sorte, les plans de tous sont déjoués, pas par calcul ou de façon volontaire, mais par le hasard de conséquences imprévues. Il peut y avoir des « bons » et des « méchants », mais il se peut qu’ils ne s’affrontent pas directement. Chacun étant victime à sa façon des rebondissements de l

Type d’interrelations (1)

La jalousie / rivalité La jalousie et la rivalité sont deux moteurs d’action riches en possibilités. En possibilités d’actions, de retournements de situations et de péripéties bien sûr, mais aussi en possibilités de description et de présentation de personnages. Ce sont des sentiments généralement forts qui teintent les pensées et les actions de ceux qui les ressentent. Jalousie :             — envie, désir d’obtenir un avantage concret (objet, trait physique, etc.) ou abstrait (victoire, qualité, relation, etc.) obtenu par la personne qui est l’objet de la jalousie. — à son extrême, la jalousie est un sentiment de peur d’être remplacé, trompé, oublié. Rivalité :             — Opposition entre deux personnes ou plus qui convoitent un même avantage, concret ou abstrait, mais qui ne peut revenir qu’à l’un d’entre eux. Ainsi, la principale différence entre les deux est que si je suis jalouse, je veux la même chose que l’autre, mais sans que ce soit à son détriment. Tandis que si je suis s