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Affichage des messages du septembre, 2015

Type de croyances (1)

Les croyances anciennes sont souvent réfutées par les sciences, mais dans un roman rien n'empêche de les décrire comme étant vraisemblables. La malédiction : Elle demande un lanceur de malédiction. C'est une condamnation, un appel au malheur. Elle appelle sur la personne maudite la colère d'une entité surnaturelle considérée puissante (dieu, élément, démon, etc.). Elle est généralement — lorsqu'elle est effective — lancée par un personnage détenant des pouvoirs magiques.  Tenant souvent lieu de vengeance, la malédiction est déclenchée par divers sentiments négatifs comme :  — la colère, — la haine, — la trahison, — l'infériorité, — le manque de respect, — la défaite, — l'abandon, — le rejet, — la jalousie, — etc. Elle influe sur le destin du personnage touché et, quelque fois, sur celui de son entourage. Le personnage marquée par la malédiction aura comme objectif premier de la faire cesser. Certaines malédictions contiennent en elles-mêmes la façon de les br

Type psychologique de personnages (7)

L'athéisme : Absence de croyance en un (ou des) dieu(x) sous quelques formes que ce soit. Ensemble des idées, des théories et des opinions soutenues pour expliquer la conviction de la non-existence de toute divinité. Un personnage athée passe généralement inaperçu sauf s'il est question d'interrogations fondamentales auxquelles les religions tentent de répondre. Par exemple, — D'où venons-nous? — Comment le monde a-t-il été créé? — Quel est le sens de l'existence? — Comment devons-nous agir? — etc. Cette conviction s'accompagne souvent d'un refus des explications surnaturelles. Cependant, si l'athée se tourne souvent vers la science pour trouver des réponses à ses questions, la science ne mène pas nécessairement les scientifiques à l'athéisme. Pour certains, la science renforce la croyance en l'existence d'un dieu créateur.

Type de séquences d'action (6)

L'échec : C'est une entrave dans l'action d'un personnage ou un revers. Il peut s'agir de projets, d'espérances, de calculs déjoués par un adversaire, par les lois de la physique, par le hasard des circonstances, voire simplement les capacités du personnage qui ne sont pas à la hauteur.  Qu'il soit grand ou petit, l'échec met le personnage à l'épreuve, lui fait vivre des émotions de la simple déception au désespoir, lui fait prendre des décisions qu'il n'aurait pas prises autrement. Pour l'intrigue, l'impact peut s'étendre du léger soubresaut au retournement de situation, en passant par le cul-de-sac et le changement d'alliance. En fait, la grandeur d'un échec se mesure non pas de façon objective, mais par son impact sur le personnage qui le vit et sur l'intrigue. L'échec peut être utilisé pour : — donner un nouveau souffle à l'intrigue, — ouvrir des possibilités d'action, — étoffer un personnage en montran

Type d'interrelations (4)

La prédation :  Elle est associée à la chasse. Le prédateur ne veut pas obtenir, il veut prendre. Elle symbolise un état de perpétuelle compétition. Le prédateur veut non seulement vaincre son adversaire, il veut surtout la défaite de ce dernier. Une défaite qui le détruise, qui lui donne l'impression d'avoir été une proie, une simple nourriture (spirituelle, psychologique, intellectuelle, physique, etc.) pour le prédateur ou une façon d'augmenter son pouvoir (le prédateur veut être le personnage dominant dans son groupe). Le personnage-prédateur prend plaisir à la compétition plus qu'à la victoire, toutefois, il est impitoyable. La seule règle qu'il connaisse, c'est celle du plus fort. Et le plus fort, c'est bien sûr lui. La relation de prédation s'installe entre un (ou des) personnage(s)-prédateur(s) et un (ou des) personnage(s)-proie(s). Les proies ne sont pas toujours conscientes du rôle qu'elles jouent (ou qui leur a été attribué), mais les préd

Type psychologique de personnage (6)

L'ambition : Elle peut être considérée comme faisant partie de la psychologie d'un personnage lorsqu'elle atteint le statut de passion. Alors, elle n'est plus simple cliché de vocabulaire, et elle prend tout son sens : un désir dévorant de réussite sociale, de pouvoir, d'honneur est le catalyseur de la presque totalité des actions du personnage. Ce dernier est animé d'un désir profond et prenant de paraître, de montrer de quoi il est capable, de se distinguer, de s'élever au-dessus de monsieur/madame tout le monde. Une ambition peut être de petite ou de grande taille. Le plus important pour qu'un désir puisse porter ce nom, c'est l'ampleur qu'il prend chez le personnage. Qu'il veule être le meilleur cycliste de sa ville ou du monde, si un personnage y consacre presque toutes ses énergies, son temps et ses pensées : il est ambitieux. Quelques exemples d'ambitions : — gagner un concours, une compétition, — obtenir un emploi particulier,