La fin : heureuse ou malheureuse?
En tant qu’auteur (et comme lecteur aussi), avez-vous tendance à privilégier les happy end où : les méchants sont punis et les bons s’en sortent vainqueurs; les héros obtiennent ce pour quoi ils se sont battus tout au long de l’histoire; l’amour triomphe; l’équilibre est rétabli et tout le monde en est soulagé; les héros nagent dans le bonheur; etc. Ou préférez-vous les finales plus réalistes, parfois tristes, voire tragiques? Plusieurs raisons poussent certains auteurs à opter pour une fin plutôt malheureuse : par souci de réalisme; pour laisser la porte ouverte à une suite; afin de se conformer à un genre; pour stimuler une réflexion (laisser le lecteur tirer ses propres conclusions); parce qu’on y réserve un élément de surprise; etc. Que la fin choisie soit heureuse ou malheureuse, l’important lorsque vos héros y parviennent est que leur quête soit résolue (ou en voie de l’être) et qu’il y ait un retour à la stabilité. Évidemment, la situation finale ne peut pas être identique au c